Les facultés de médecine manifestent une faible attention quant à la prévention des conflits d’intérêts à l’égard des laboratoires pharmaceutiques. Durant leur cursus universitaire, les futurs médecins ne seraient pas suffisamment sensibilisés à cette problématique en dépit des recommandations internationales. C’est en tout cas ce qui est avancé par une étude publiée dans la revue scientifique Plos One.