C’était une promesse faite par Emmanuel Macron en décembre. Créer une plate-forme centralisée contre les discriminations. A l’époque, le débat battait son plein sur les violences policières. « Aujourd’hui, quand on a une couleur de peau qui n’est pas blanche, on est beaucoup plus contrôlé. On est identifié comme un facteur de problème et c’est insoutenable ! », avait admis le président.
Deux mois plus tard, l’ambition de la structure qui vient d’être mise en place est bien plus large : lutter contre toute forme de discrimination, qu’elle soit liée à la couleur de peau, au lieu de résidence, au handicap, à l’orientation sexuelle ou au genre notamment.