La Commission européenne le laisse entendre depuis plusieurs jours : elle n’aime pas l’interdiction générale des voyages non essentiels décidée par les Belges en janvier. Mais malgré les échanges avec les autorités, il ne semble pas qu’elle soit prête à ouvrir des procédures d’infraction pour protéger la libre circulation dans l’UE. « La question est : est-ce que les procédures d’infraction constituent la bonne réponse dans une situation aussi volatile ? », résume une source européenne.