Le feuilleton n’en finit pas. Il dure depuis dix ans. Une décennie durant laquelle le prince Laurent a frappé à toutes les portes. Sans obtenir d’aide politique pour l’exécution de jugements rendus en Belgique et lui donnant tous raison, en 2011, 2012, 2013 et 2014, puis encore au civil en 2018 et 2020.
Pourquoi cette inaction politique, alors que le gouvernement est autrefois intervenu en faveur de sociétés belges créancières de l’Etat libyen, pour qu’elles récupèrent leur dû ? Nous avons interrogé de nombreuses sources au fait de ce dossier toujours hyper-délicat et identifié plusieurs raisons au comportement des autorités. Sur lequel pèse encore un certain flou…
Avant d’entrer dans le vif du sujet, rappelons les faits.
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