Quand, le 8 février, à Jérusalem en Israël, le Premier ministre grec Kyriakos Mitsotakis sort de sa rencontre, avec son homologue israélien, Binyamin Netanyahou, il affiche un sourire de contentement. Ils viennent de signer un accord touristique. Le leader du parti de la droite grecque, Nouvelle Démocratie, en dessine les contours face à la presse : « Nous devons faciliter les voyages de ceux qui présentent une preuve de vaccination et c’est ce que nous comptons faire avec Israël […] qui est loin devant en termes de vaccination. »