Les jeunes ont largement contribué à l’effort collectif pour protéger les plus fragiles. Ils le payent en termes de renoncement à un temps de leur jeunesse », pointait la rectrice de l’ULB Annemie Schaus. À coup de Carte blanche dans les médias, de cercles tracés à même le sol, de messages postés sur les réseaux sociaux, la population manifeste son inquiétude quant à l’impact psychologique de la crise covid sur nos jeunes. Pour ceux qui douteraient encore de cette détresse, une étude vient désormais appuyer l’impression des acteurs de terrain.