Le variant britannique du coronavirus représente désormais 50 % des nouvelles infections et dans deux à trois semaines, ce sera 80 %. C’est ce qu’a déclaré le biostatisticien Geert Molenberghs ce lundi au micro de De Ochtend.
Selon Geert Molenberghs, les indicateurs de la pandémie sont sur un plateau depuis le mois de novembre. « En soi, ce n’est pas anormal pour la phase dans laquelle nous sommes maintenant », a déclaré M. Molenberghs. Selon lui, un effet « atténuant » est également attendu avec la semaine des vacances scolaires.
Le variant britannique du coronavirus est toujours en augmentation. Selon Geert Molenberghs, la moitié des nouvelles infections concernent désormais ce variant britannique. En raison de la poussée de croissance du variant, cette part passera à 80 % dans les deux ou trois prochaines semaines.