Au premier confinement, le ministère public a ordonné davantage d’interdictions de résidence, un dispositif qui permet d’éloigner le conjoint ou un membre de la famille en cas de violence domestique, rapportent mardi les journaux du groupe Sudpresse.
Entre le 13 mars et le 5 septembre 2020, les parquets d’Anvers (58), du Limbourg (57), de Mons-Tournai (9), de Charleroi (3), du Luxembourg (3) et de Flandre-Occidentale (2) ont ordonné un total de 132 interdictions de résidence.
Comparativement aux 702 interdictions de résidence prononcées de 2015 à 2019, c’est quasi deux fois plus.