La Commission européenne a écrit aux autorités belges pour obtenir avant dix jours une réponse au caractère selon elle disproportionné de l’interdiction des déplacements non essentiels prolongée au 1er avril, une mesure qui fera l’objet d’une évaluation vendredi au Comité de concertation. Cinq autres pays dont l’Allemagne sont visés.
« Aucune raison n’a été donnée » pour cette extension
« Dans le cas de l’interdiction de voyager imposée par la Belgique, la Commission considère que des mesures moins restrictives seraient à la disposition des autorités pour atteindre l’objectif de protection de la santé publique », écrit Salla Saastamoinen, directrice générale de la DG Justice, dans un courrier consulté par Belga.