La menace était encore diffuse, l’ennemi semblait alors lointain, peu ou prou semblable à ce SARS-Cov 1 qui avait enlevé la vie à quelques milliers de personnes au début du siècle, en Asie essentiellement. En Chine, le GP de F1 ou la Super League venaient certes d’être reportés sine die mais dans le golfe Persique, nul ne pouvait encore imaginer, pas même les infectiologues les plus anxieux, que cette vague virale ressemblerait bien vite à une lame de fond, emportant tout sur son passage.