La réalité est désagréable, la réalité est épouvantable, la réalité est difficilement supportable. On voyait le soleil par la fenêtre, on sentait le goût du dehors et nous voilà de retour à la case « hôpitaux menacés de saturation », avec tous les mots de la « coronavlangue » en prime : troisième vague, exponentielle, courage, prudence, sécurité. On pensait être au bout du chemin et pour la ixième fois, voilà la liberté repoussée à plus tard. Dans une semaine ?