Environ quatre entreprises sur dix (39%) déclarent faire des efforts temporaires ou limités (ad hoc) en vue d'améliorer le bien-être de leurs collaborateurs.
Une telle approche ad hoc des entreprises revient surtout à calmer les esprits, redoute Benoît Caufriez, directeur d'Acerta Consult. Selon lui, les travailleurs ne considèrent pas des interventions temporaires comme une politique de bien-être.
Pourtant, mieux vaut prévenir que guérir, avance-t-il, et un plan de bien-être préventif est moins cher, tant pour les petites que pour les grandes entreprises. "Nous pensions que la crise du coronavirus donnerait un coup d'accélérateur, mais cela ne semble pas être le cas pour l'instant", s'étonne le responsable du spécialiste RH.