Alors qu’il reste cinq matches à disputer pour les Mauves d’ici le terme de la phase classique, Kompany dispose d’un noyau très large, pour aborder la dernière ligne droite, seul van Crombrugge garnissant l’infirmerie. Et il ne va évidemment pas s’en plaindre. « Si la rotation risque d’être difficile à gérer ? J’ai toujours voulu exactement cela. J’essaie de ne pas me concentrer sur les cas individuels et éventuelles frustrations. Justement, j’essaie de favoriser la concurrence, de voir à quel moment un joueur peut, peut-être, faire la différence, en tenant compte de la forme de chacun. Le tout en gardant une certaine stabilité. C’est un exercice d’équilibriste mais je préfère ce problème que l’inverse. »