L’évocation de Paris-Nice nous ramène brutalement à cette sinistre réalité : voici un an, la pandémie avait mis la saison cycliste entre parenthèses jusqu’à fin juillet. La dernière étape Nice-Nice avait été annulée, les restaurants avaient mis les chaises sur les tables le samedi soir, les hôtels avaient quant à eux fermé leurs portes le lundi matin. Juste le temps de rentrer à toute vitesse pour les concurrents et leurs suiveurs, désabusés autant qu’inquiets.