Le commerce de détail non alimentaire ne profite dans l’ensemble pas d’une forme olympique en cette très longue période de covid assortie de mesures qui brident les élans des consommateurs. Ainsi, le 13 février dernier, Comeos, la fédération du commerce organisé, décrivait les soldes d’hiver comme « les pires jamais connus », malgré l’allongement de cette période de ventes à prix sacrifiés. Elle précisait que « le chiffre d’affaires des chaînes d’habillement a diminué de 25 à 35 % par rapport à la même période l’an passé ». Et même si le bricolage et le jardinage sont aux anges et si l’électronique grand public limite la casse, le secteur a besoin de vendre davantage. Donc, pour cela, de réattirer le chaland.