Partout en Europe, les villes cherchent à améliorer la qualité de l’air car celle-ci reste encore problématique. En 2019, 93 % des Belges étaient toujours exposés à des concentrations de particules fines (PM2.5) supérieures aux recommandations de l’Organisation mondiale de la Santé. De quoi causer 7.400 morts prématurées, estime l’Agence européenne pour l’environnement. A ajouter aux 1.200 décès dus à la pollution par le dioxyde d’azote (NO2), dont 43 % proviennent du trafic routier (et 35 % de l’extérieur de la Région).