Ils s’appellent « prêt énergie », « prêt rénovation », « prêt vert »… Autant de démonstrations que l’emprunt hypothécaire s’est mis depuis un certain temps déjà au goût du jour et inclut désormais dans ses fondamentaux la rénovation à des fins énergétiques.
Il va sans dire que ces prêts « verts » ont le vent en poupe auprès de la population. Voilà belle lurette que les autorités tapent sur le clou pour pousser le citoyen à rénover son habitation afin de la rendre plus durable. La Belgique, on le sait, possède un parc immobilier fort vétuste et l’on n’ignore plus non plus que des logements peu ou mal isolés, par exemple, contribuent grandement aux émissions de CO2 dans l’atmosphère.
A force d’être répété et entendu, le message a fini par « percuter » dans la tête des Belges et les confinements de l’année dernière ont fini par convaincre les derniers sceptiques que des travaux s’imposaient.