A la Chambre ce mercredi, le ministre de l’Intérieur explique que le soutien au terrorisme dans la communauté musulmane est un « phénomène », qu’il faut « agir ». L’opposition avait, elle, réclamé des faits précis, protesté contre les amalgames, appelé Jan Jambon à s’excuser.
Très attendu à la Chambre cet après-midi, en commission de l’Intérieur, après avoir soutenu qu’une partie « significative » de la communauté musulmane s’était réjoui des attentats du 22 mars, Jan Jambon, ministre de l’Intérieur, a affronté une opposition remontée contre « des propos qui attisent la haine ».