Il est calme. Il parle doucement. Il ne vit pas sur son physique dans les rapports humains. Pudique, réservé, voire timide, Ryad Merhy se transforme en machine à frapper une fois les gants mis. Né en Côte d’Ivoire il y a presque 25 ans, le garçon a également du sang libanais qui coule dans les veines. Arrivé à Bruxelles à l’âge de 3 ans avec sa maman, c’est d’abord tout naturellement au football qu’il s’est exercé avec ses potes de Zellik.