Même si Roland-Garros, Rome, Hambourg et Kitzbühel (les seuls rescapés en 2020) ont maintenu l’illusion en septembre-octobre dernier, cela fait du bien au tennis mondial de revoir un vrai calendrier de terre battue avec une reprise sous le bleu azur de Monte-Carlo. Tout est loin d’être parfait, avec un huis clos complet sur le Rocher, des jauges partielles ailleurs, alors que les conditions sanitaires restent strictes. Mais une balle jaune qui se colore d’ocre, dès avril, c’est comme une hirondelle qui annonce les beaux jours…