Sur son long chemin de souffrance, il s’était fixé un seul objectif, comme un brasero qui réchauffe le cœur lorsque la nuit est d’encre et d’incertitude. En filigrane des efforts consentis lors des séances de revalidation, en compagnie du physiothérapeute Lieven Maesschalck, transpirait un espoir, plus ou moins concret : disputer minimum un cross au fil de l’hiver. Wout van Aert touche cet espoir du doigt.