Le Sénat américain a approuvé samedi la nomination du juge conservateur Brett Kavanaugh à la Cour suprême, à l’issue d’un processus de confirmation chaotique marqué par des accusations d’agression sexuelle contre le magistrat lorsqu’il était jeune.
La nomination du juge est désormais acquise. Conservateur, pro-gun, il a déclenché une violente controverse. La gauche américaine craint qu’avec sa nomination la plus haute instance judiciaire des Etats-Unis ne bascule à droite pour des décennies.
Un mouvement s’organise dans l’entourage présidentiel. Une tribune dans le « New York Times » a mis le feu aux poudres. Tout Washington est sous le choc.
Après le livre Fear, le « New York Times » a sorti une tribune anonyme d’un « haut responsable » membre du cabinet présidentiel. Le ver est dans le fruit à la Maison Blanche.
Dans « Fear », le célèbre journaliste Bob Woodward, dépeint un Donald Trump incompétent, une petite brute bête et méchante. Le livre, qui met déjà la Maison blanche dans tous ses états sortira aux Etats-Unis, le 11 septembre.
Les têtes tombent les unes après les autres dans l’entourage présidentiel. Les aveux de l’ancien avocat de Donald Trump, Michael Cohen, provoquent une onde de choc à la Maison-Blanche. Le spectre d’une débâcle judiciaire pèse désormais sur la présidence. La légitimité de l’enquête du procureur spécial Robert Mueller s’en trouve encore renforcée.
Le président Donald Trump a désigné le juge conservateur Brett Kavanaugh pour siéger à la Cour Suprême. Un choix sans surprise qui donne une majorité conservatrice claire à cette institution surpuissante qui tranche sur les grandes questions de société. Mais le Sénat doit encore valider ce choix, et le débat s’annonce serré.
C’est une première pour un président en excercice aux Etats-Unis. La fondation de Donald Trump est sous le feu de Barbara Underwood, la nouvelle procureure générale de New York. En cause ? Le financement de la campagne présidentiel.
Le président Donald Trump ne trouve pas d’avocat à sa hauteur pour faire face à la justice et à l’enquête russe. Plus de six ténors du barreau lui ont déjà tourné le dos.
Après un an de pouvoir, 56 % des Américains estiment que Donald Trump n’est pas apte à occuper la présidence. Mais selon certains analystes, son action est au contraire redoutablement cohérente.
Derrière l’excès et la levée de boucliers habituelle devant chaque nouvelle sortie, on commence à avoir une vision plus systématique de ce que Trump essaie de faire.
Avec ses propos polémiques sur plusieurs pays africains, le Salvador et Haïti, qualifiés de « pays de merde », le président américain vient de franchir une nouvelle ligne rouge.
Que se passe-t-il si un président des États-Unis se retrouve physiquement ou intellectuellement incapable de conduire les affaires du pays ? Depuis 50 ans, il peut sauter, en faveur du vice-président…
Le président américain Donald Trump était sur la défensive jeudi après les mises en cause de son ancien conseiller stratégique Steve Bannon dans un livre explosif — dont il espère faire interdire la sortie — qui détaille les dysfonctionnements de la Maison Blanche.
Dans la foulée du mouvement #MeToo, trois femmes qui avaient déjà accusé le président américain de comportement sexuel inapproprié l’année dernière ont demandé au Congrès d’ouvrir une enquête sur ses agissements.
Le président américain a choisi de placer ce cap symbolique sur le signe du dossier nord-coréen mais c’est surtout « l’oeil de Moscou » qui a dominé ses douze premiers mois de fonction.