Une commission du Congrès américain dominée par les républicains a publié son rapport sur l’attaque de la mission américaine à Benghazi en 2012, accusant Hillary Clinton, alors secrétaire d’Etat, d’avoir minimisé la menace djihadiste en Libye. Mais après deux ans d’enquête, aucune révélation fracassante susceptible de porter un coup fatal à la campagne de Hillary Clinton pour la présidentielle de novembre ne s’est glissée dans l’épais dossier.