En Algérie, un supposé mouvement « citoyen » féministe s’organise pour se baigner librement, à savoir en maillot. Même si l’information est relativisée par certains titres de presse algériens, le contraste avec la polémique burkini interpelle.
Le tribunal administratif de Bastia est allé à l’encontre de la décision du Conseil d’Etat, qui avait qualifié les arrêtés «anti-burkini « d’illégaux ».
Le président et le vice-président du Collectif Contre l’Islamophobie en Belgique (CCIB) expriment leur ras-le-bol et leurs craintes à la fin d’un été qu’ils qualifient d’islamophobe.
La controverse autour du maillot islamique est le reflet du discours manichéen qui oppose le « sacré laïc » et le « sacré religieux » comme deux trajectoires incompatibles.
Samedi, une centaine de personnes – beaucoup de femmes – ont manifesté le long de l’Escaut. Le groupe défendait le droit de porter les vêtements de son choix, y compris le burkini. « C’est une question de liberté, pas de religion ».