Les spectacles n’y durent pas plus de 20 minutes. Rencontre dans les coulisses d’une de ces créations en modèle réduit, « Backup », où l’on travaille à faire court mais bon.
En tournée dans toute la Belgique, « La guerre des buissons » prouve une fois de plus la maestria du Théâtre des 4 Mains – et des dix doigts d’Aurélie Deloche aux marionnettes.
Endosser le légendaire JFK, personnage historique encore solidement ancré dans la mémoire collective, n’était pas une mince affaire mais Alain Leempoel y réussit haut la main.
A gagner ici-même, 5x2 places pour le samedi 24 mars au Théâtre de Liège.
Une pièce qui n’a pas à rougir des effets spéciaux du cinéma et pointe les dérives de notre société paranoïaque. Attention : cette mise en scène urticante a des effets contagieux.
La compagnie Dérivation réussit à faire d’un conte au départ plutôt sommaire un véritable road trip déjanté sur l’amour, la vie, le féminisme, la liberté, l’homophobie, la peur des autres.
Alain Moreau fête les 30 ans de son Tof Théâtre avec un spectacle d’une douceur poignante et rayonnante. Une marionnette à taille humaine sauve la vieillesse du naufrage.
Françoise Bloch nous relâche de ses spectacles avec le sentiment d’être plus intelligents, et de reprendre prise sur des questions – la finance, l’Europe – dont on se sentait dépossédé.
Catherine Graindorge livre un seule-en-scène d’une douceur lumineuse pour raconter un père et une fille, pour dire aussi la mort dans ses facettes les plus absurdes.
Fabrizio Cassol a métissé le « Requiem » de Mozart de musique africaines, indienne et de jazz. Alain Platel propose de « voir » la mort. Le duo offre au public une nouvelle cérémonie du deuil.
George Lini crée une pièce de Stanislas Cotton basée sur un fait divers effrayant. Deux enfants de dix ans enlèvent, torturent et battent à mort un gamin de deux ans. Ces gamins tueurs peuvent-ils espérer une rédemption ?
Ah, le « dancefloor » ! Cet espace transgressif où l’on sort de soi et où tout le monde veut être le roi, Thomas Lebrun en chorégraphie des tableaux parodiques, funky, drôles ou émouvants.
Une myriade de tiroirs narratifs s’ouvrent – fantômes brumeux, musique spectrale, son caverneux, travelling en suspens – sur une atmosphère d’outre-tombe
Apassionata, la compagnie équestre la plus prestigieuse d’Europe, débarque à Bruxelles pour la première fois. Ce grand spectacle décoiffant mélange acrobatie sportive et approche artistique.
Quand ce n’est pas le sol qui se dérobe sous leurs pieds, c’est le plafond qui leur tombe sur la tête. Ce cirque-là interroge notre résilience face aux aléas de la vie. À Mons et Bruxelles