Warner Music l’a fait pour Johnny, alors pourquoi pas Universal avec Polnareff ! Entre géants, on se comprend. Ainsi la presse n’a-t-elle reçu ce nouvel album « tant attendu depuis vingt-huit ans » de l’Amiral (comme il s’appelle lui-même auprès de ses fans « moussaillons »), que la veille en soirée. Pour que la surprise soit totale, bien sûr.