Chaque lundi, le regard de Jean-François Kahn, ancien directeur de « Marianne », sur la campagne présidentielle, ainsi que les analyses de nos autres chroniqueurs.
Quelle relance ? Avec quels projets ? Quels moyens ? « Le Soir » et Carta Academica ont lancé le débat vendredi, en direct, en compagnie de quatre experts.
Quelle formation gardera la main après les législatives françaises ? Il est plus que probable que la République en marche, le mouvement du président, obtiendra une majorité confortable au sein de l’hémicycle.
Toutes les factions critiquent ce mélange au-delà des partis qu’a réussi Emmanuel Macron. Pourtant, ce qui en France s’apparente à une véritable révolution, ressemble assez à ce qui se pratique communément en Belgique.
Face à la dynamique rénovatrice et refondatrice qu’a incarnée Emmanuel Macron, s’est exprimé un double rejet que sont parvenues à chauffer à blanc, jusqu’à l’incandescence, à la fois la gauche radicale et la droite radicale.
Le barrage tiendra encore cette fois. Il reste quatre jours pour le consolider. Mais le mauvais début de campagne de Macron trop emprunté, trop classique, trop lisse risque de projeter Le Pen vers des scores traumatisants. La chronique de Kahn.
Le second tour de l’élection présidentielle française voit s’affronter l’europhile Emmanuel Macron et l’europhobe Marine Le Pen. L’Europe, elle, divise à droite comme à gauche. Seuls les centristes et les écologistes sont pro-européens.
Quelles seront les conséquences d’un scrutin dont le verdict a soufflé tel un vent de tempête sur l’ensemble de la classe politique ? Eléments de réponse.
Pour Vincent de Coorebyter, si les Français aimaient tant les extrêmes qu’on le dit, il y aurait beaucoup moins d’indécis et d’abstentionnistes que les sondages n’en ont comptés. Reste cette inconnue nouvelle : l’impact de l’attentat de jeudi…
A la veille du premier tour de l’élection présidentielle, nous avons été ausculter nos compatriotes Charline Vanhoenacker et Alex Vizorek sur le bilan d’une campagne politique qu’ils ont suivie de très près.
A l’approche du premier tour de l’élection présidentielle française, ils sont quatre à se disputer une place en finale. Passage en revue des différents duels possibles. Et de leurs conséquences sur la vie politique. Chronique.
Marine Le Pen a choqué en déclarant que « la France n’est pas responsable » de la rafle du Vél’ d’Hiv. C’était aussi la position de Charles de Gaulle et de François Mitterrand…
Le leader de « La France insoumise », fort de sa bonne prestation au premier débat télévisé entre les cinq principaux prétendants à la présidentielle, a fait une percée dans les sondages. Au point de reléguer le candidat socialiste Benoît Hamon à plusieurs longueurs. Raisons de « l’embellie mélenchonienne ».
Il est un ovni sorti dont ne sait où et membre d’aucun parti, un inconnu encore deux ans plus tôt qui pourrait même souffler la première place à Marine Le Pen. On serait détesté pour moins que ça.