En octobre dernier, lorsqu’Ostende démarrait sa campagne européenne par trois revers consécutifs au sein de la toute nouvelle « Champions League », rares sont ceux qui, à la Côte, se voyaient arriver, cinq mois plus tard, aux portes d’une finale européenne. « À la base, c’est vrai que nous ne nous attendions pas à être reversés en Fiba Europe Cup (NDLR : la 4e compétition européenne derrière l’Euroleague, l’EuroCup et la Champions League) », concède Pierre-Antoine Gillet qui, comme son équipe, est monté en puissance depuis cette époque.