Le compagnon du policier français tué la semaine dernière lors d’un attentat sur l’avenue des Champs-Elysées a témoigné mardi de sa « douleur extrême », et dit souffrir « sans haine », lors d’un hommage national au policier rendu à Paris.
Le compagnon du policier français tué la semaine dernière lors d’un attentat sur l’avenue des Champs-Elysées a témoigné mardi de sa « douleur extrême », et dit souffrir « sans haine », lors d’un hommage national au policier rendu à Paris.