Pour le président français, le piratage d’Emmanuel Macron n’est pas une grande surprise. « On savait qu’il y aurait ces risques-là durant la campagne présidentielle puisque ça s’était produit ailleurs », a-t-il déclaré lors d’une visite de l’exposition « Trésors de l’islam en Afrique » à l’Institut du monde arabe (Ima) à Paris.
Néanmoins, « rien ne sera laissé sans réponse », a assuré François Hollande. « S’il y a eu effectivement un certain nombre de parasitages ou de captations, il y aura des procédures qui vont entrer en vigueur », a-t-il continué, sans donner plus de précisions.