Pour Pierre Rosanvallon, le principal danger de nos démocraties réside dans leur fragilité. Pour cette raison, il plaide pour davantage de transparence et attend des politiques qu’ils regagnent la confiance des citoyens. Il sera ce mercredi soir au parlement bruxellois pour en parler lors d’un débat sur la démocratie au XXIe siècle.
Ne va-t-on pas trop loin dans la moralisation politique ?